Liste idéale et projets de rêve
Au moment où les partis politiques se préparent à présenter leur liste de candidats, « Une à Nîmes » vous propose une liste de Nîmois reconnus mais en dehors du sérail politique. Nous les avons imaginés « expert » ou « légitime » dans un des champs de compétence de la ville et avec des idées originales ! Ces informations ne sont qu’imaginées et non contractuelles.
Michel Hermet |
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un des patrons du Wine Bar, pourrait avoir en charge les cantines scolaires. Olives, brandade, agrillade saint gilloise… Rien ne manquerait dans l’assiette de nos chères petites têtes blondes pour faire vivre le terroir et l’identité culinaire locale. Le budget « cantine » devrait être multiplié par 3 pour faire appel aux plus grands chefs de la région. Il serait aidé dans sa lourde tâche par Arlette Lucas, célèbre restauratrice aux Halles et à l’Econome, rue Jean Reboul. |
Caroline Sirot-Vidal |
patronne de la chaîne de magasin de coiffure Diagonal, ferait une excellente adjointe au maire déléguée à la rénovation des façades. Experte dans l’art de relooker les visages des Nîmoises et des Nîmois, elle rénovera la ville, à l’image de ses belles façades rénovées du centre ancien. Nîmes ferait l’objet d’un grand lifting et ce dans toutes les zones. Imaginez un immeuble Franck Provost, une tour de la ZUP redessinée par Jean-Louis David ou une avenue colorée par Schwarzkopf. |
Eddie Pons |
le célèbre dessinateur caricaturiste, pourrait se voir confier le protocole de la ville. Choisir les apéritifs en imposant l’anisette, les petit-fours, les cadeaux à offrir aux délégations étrangères (des livres de dessins), faire l’interprète en langue espagnole... Il serait secondé par Jany(1), ex-propriétaire de la bodega du même nom. Elle accueillerait François Hollande et ses ministres juchée sur un congélateur en chantant du Dalida devant le Carré d’art. |
Laetitia Izard |
commerciale en vins français à San Francisco, ferait une excellente conseillère municipale chargée des relations extérieures. Elle vanterait sans doute nos produits « Made In Nîmes» dans le monde entier. Elle obtiendrait que pour chaque Jean’s Denim vendu dans le monde, 0,20 centimes d’euros soit reversés aux plus nécessiteux de la ville afin de les loger et de les nourrir. |
Patrick Mallet |
le présentateur de l’émission Noir et Blanc de TV Sud, ferait un excellent conseiller municipal délégué aux traditions camarguaises. « La Coupo Santo » serait entonnée devant la devise camarguaise dans toutes les écoles dès 7h du matin. Il organiserait chaque année le salon de la « Biougraphie » à Carré d’art avec les acteurs de la bouvine. |
Audrey Carbo |
la galeriste de la place d’Assas, serait chargée des arts décoratifs de la ville et de l’urbanisme. Son goût sûr et raffiné influencerait les aménagements architecturaux et urbains de la ville. Ses bonnes relations avec les artistes locaux et régionaux seraient un plus non négligeable. Imaginons une école José Pirès (peintre), un parc pour enfant Alain Taligro (sculpteur), un rond-point aménagé par le sculpteur Stéphane Lopez ou encore le centre de congrès dessiné par Ben Colibri, le peintre contemporain. |
Florent Kuyten |
dit Moquette (patron du Comptoir des Halles) pourrait avoir en charge les festivités de la ville. Première décision de son mandat : « prendre un arrêté municipal pour empêcher les voitures de circuler dans la rue des Halles devant son bar le dimanche ». Il serait idéalement secondé par Pierre-Edouard Thibaut dit « Pitou » (créateur de la marque Mornig Glory – Casquette) en charge de l’organisation de la féria. Jacques-Olivier Liby (8) (avocats du diable – animateur du prix Hemingway) serait en charge de la tauromachie. José Tomas (matador) aurait son visage dessiné sur la piste des arènes à vie. |
Christy Lacour Gianini |
fille de Christian Lacour du même nom des éditions et de la librairie situés boulevard Amiral Courbet, pourrait se voir confier la revitalisation du centre-ville. Par ailleurs mannequin, elle pourrait relancer avec charme l’activité commerciale du cœur de ville en organisant une fashion-week deux fois par an. |
Abder Ramdane |
ancien footballeur du Nîmes Olympique (auteur du but contre Montpellier en demi-finale de la coupe de France en 1996), se verrait confier la délégation aux sports avec Yannick Agniel (champion Olympique de natation) et l’ancienne gymnaste Ludivine Furnon (7). Des jeux intervilles Nîmes-Montpellier seraient organisés dans toutes les disciplines une fois tous les 2 ans. |
Sophie Rigon |
organisatrice d’un festival « Un réalisateur dans la ville », pourrait gérer les affaires culturelles de la ville grâce à son réseau dans le cinéma et son goût prononcé pour l’opéra. La maison de Sophie laisse présager un goût sur pour le patrimoine et l’architecture. Dans sa tâche, elle pourrait être aidée par Marion Mazauric (éditrice de la maison Au diable Vauvert) pour la lecture publique et par Greg Delon (organisateur du festival Anîmé – musiques électroniques) pour la musique. Ils organiseraient une nuit blanche artistique dans la ville. |
Jean-Louis Pujol |
pasteur, pourrait se voir confier les affaires sociales de la ville. Organisateur (retiré) du Noël des pauvres aux Costières, il a œuvré toute sa vie pour les plus en difficulté. Il serait associé à Mohammed Jaffal, président de l’association Humanimes qui vient en aide aux SDF de la ville. Les églises, les temples, les synagogues et les mosquées seraient transformés en discothèque avec de grands DJ pour récolter des fonds. |
Alain Penchinat |
Pour les finances de la ville, il (ex trésorier CCI, trésorier église protestante, ex trésorier du Golf Campagne) serait tout indiqué pour gérer la dette, la fiscalité et le budget de la ville. Les Penchinat sont une famille connue et reconnue dans la vie de la cité. |
Francis Meynier |
La délégation à l’Urbanisme pourrait lui être confiée. Ce Nîmois est intervenu régulièrement contre les projets d’aménagement de la ville sur l’Ilot Grill (emplacement du futur Musée de la romanité). Il connaît les règles et les dossiers par cœur. |
Alain Lorgeas |
Enfin, la ville pourrait créer une nouvelle délégation aux roumégaïres ou aux réboussiers. Elle lui serait confiée (3), président du comité de quartier de Pissevin. Il serait chargé des quartiers et de l’écoute de tous les comités de quartier. Une journée « sans râler » serait instituée à Nîmes. |
Jean-Claude Gruette |
facteur du centre-ville, serait chargé de la communication, des relations extérieures et du courrier bien évidemment. En lien avec les espaces verts de la ville, il déposerait une fleur dans chaque boîte aux lettres à chaque printemps. Ca changerait de la pub ! |
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